Le document "Transports vers et sur le plateau de Saclay" résume la position de COLOS sur les problèmes et les projets concernant la desserte du plateau de Saclay sous ses différents aspects :
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les transports collectifs
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la circulation routière
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les circulations douces
En complément à ce document, nous présentons une Étude comparative des technologies de transport d’une éventuelle Ligne 18(verte) du Grand Paris Express, dans l'hypothèse où cette ligne devrait voir le jour en dépit de sa faible utilité. Cette étude a été réalisée avec le concours d'un expert en matière de systèmes et d'équipements de transport.
En voici les principales conclusions :
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toutes choses égales par ailleurs (tracé, nombre de stations), un tram-train propose de meilleures performances qu’un métro léger de type VAL ;
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un projet tram-train coûte près de 60 % de moins à réaliser qu’un projet VAL et aussi 60 % de moins en fonctionnement ;
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avec le tram-train, l'évolution future est préservée grâce à l'utilisation d'un matériel non spécifique à la ligne (dont la maintenance peut être mutualisée avec celle du tram-train Évry-Massy-Versailles) ;
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un projet tram-train est créateur d’emplois sur le long terme au-delà de la phase de construction : maintenance, conduite...
En voici les principales conclusions :
toutes choses égales par ailleurs (tracé, nombre de stations), un tram-train propose de meilleures performances qu’un métro léger de type VAL ;
un projet tram-train coûte près de 60 % de moins à réaliser qu’un projet VAL et aussi 60 % de moins en fonctionnement ;
avec le tram-train, l'évolution future est préservée grâce à un matériel non spécifique à la ligne ;
un projet tram-train est créateur d’emplois sur le long terme au-delà de la phase de construction : maintenance, conduite...
Ces conclusions sont cohérentes avec le choix technologique fait par le ministère de l'égalité des territoires et du logement pour sa réévaluation du coût du Grand Paris Express, suite à la consultation de Pascal Auzannet.
toutes choses égales par ailleurs (tracé, nombre de stations), un tram-train propose de meilleures performances qu’un métro léger de type VAL ;
un projet tram-train coûte près de 60 % de moins à réaliser qu’un projet VAL et aussi 60 % de moins en fonctionnement ;
avec le tram-train, l'évolution future est préservée grâce à un matériel non spécifique à la ligne ;
un projet tram-train est créateur d’emplois sur le long terme au-delà de la phase de construction : maintenance, conduite...
Ces conclusions sont cohérentes avec le choix technologique fait par le ministère de l'égalité des territoires et du logement pour sa réévaluation du coût du Grand Paris Express, suite à la consultation de Pascal Auzannet.
Ces conclusions sont cohérentes avec le choix technologique fait par le ministère de l'égalité des territoires et du logement pour sa réévaluation du coût du Grand Paris Express, suite à la consultation de Pascal Auzannet fin 2012.
A cet égard, rappelons qu'initialement cette ligne avait été prévue en métro lourd souterrain, avec une seule gare sur le plateau de Saclay, pour un coût total de 2,4 milliards d'Euros. Ensuite, plusieurs gares ont été rajoutées entre Orly et Saclay, dont deux sur le plateau, et le métro est devenu léger (sous forme de VAL) afin de conserver le même budget.
Lors de la réévaluation des coûts du Grand Paris Express, le coût de la Ligne 18 a été revu à la baisse et la presse avait annoncé que pour y arriver le ministère de l'égalité des territoires et du logement travaillait sur une réalisation sous forme de tram-train, ce qui a été confirmé aux représentants de COLOS par M. Thierry Lajoie, alors conseiller Grand Paris de Mme Duflot, lors d'une rencontre en février 2013.
Or, au cours d'une réunion entre l'EPPS et les associations en novembre 2013, où M. Antoine Dupin de la SGP était invité pour présenter l'état d'avancement du dossier de la Ligne 18, celui-ci annonçait que le budget de la ligne était toujours de 2,4 milliards d'Euros et que la SGP travaillait toujours sur l'hypothèse VAL.
Par conséquent, il semble que la SGP ne tienne aucun compte des optimisations de coûts prévues et soit ainsi en train d'alourdir subrepticement la facture totale du Grand Paris Express.
Or, au cours d'une réunion entre l'EPPS et les associations en novembre 2013, où M. Antoine Dupin de la SGP était invité pour présenter l'état d'avancement du dossier de la Ligne 18, celui-ci annonçait que le budget de la ligne était toujours de 2,4 milliards d'Euros et que la SGP travaillait toujours sur l'hypothèse VAL.
Par conséquent, il semble que la SGP ne tienne aucun compte des optimisations de coûts prévues et soit ainsi en train d'alourdir subrepticement la facture totale du Grand Paris Express.
Notons encore que pendant la même réunion entre EPPS et associations, M. Pierre Veltz, interrogé sur les problèmes de circulation routière que ne manquera pas d'engendrer le "campus urbain", a reconnu ne pas être sûr d'avoir une solution !